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L'impact des dons pour la recherche médicale

Faire avancer l’innovation thérapeutique, c’est possible grâce aux dons pour la recherche médicale ! Démonstration avec la Fondation ARC dans sa lutte contre les cancers du sein. 👇

1. Cancer, nous sommes tous concernés :

3,8 millions de français vivent ou ont vécu avec cette maladie. Chacun connaît, dans son entourage, une personne concernée directement par cette épreuve. Avec le vieillissement de la population, avec l’évolution des modes de vie (tabagisme, alcool, sédentarité, nutrition déséquilibrée…), mais aussi avec les progrès du dépistage, on diagnostique un nombre toujours croissant de cancers.

Et les femmes – longtemps moins touchées – sont désormais largement concernées : le cancer du poumon progresse chez elles, en faisant le 2e cancer le plus fréquent chez les femmes, juste derrière le cancer du sein.

don pour la recherche médicale - fondation arc visuel femme enfant

Mais grâce à la recherche, une mortalité qui recule :

Dans le même temps, les progrès de la recherche ont permis d’améliorer la prévention, le dépistage et les traitements, d’augmenter les taux de guérison et la durée des rémissions avec une meilleure qualité de vie. Les progrès sont particulièrement marqués pour les cancers de la prostate, de la peau et du sein. Globalement, on guérit six cancers sur dix aujourd’hui, contre seulement un peu plus de trois sur dix il y a trente ans.

Entre la maladie et la recherche, une course contre la montre : 400 000 c’est le nombre de nouveaux cancers diagnostiqués chaque année !

Plus de cas, mais aussi une meilleure compréhension, de nouvelles découvertes et des  innovations thérapeutiques majeures : c’est une véritable course contre la montre qui se joue entre la dynamique naturelle de la maladie, et la recherche médicale. Dans cette course, les chercheurs ont besoin de ressources toujours plus importantes et d’appuis solides pour prendre des risques et expérimenter de nouvelles approches. A titre d’exemple, les nouvelles techniques d’analyse des tumeurs à l’échelle des cellules individuelles ouvrent d’immenses domaines d’investigation. Toutefois, le développement de nouveaux traitements est complexe et de plus en plus coûteux. L’évolution vers une médecine toujours plus personnalisée (et efficace !) requiert donc toujours plus de moyens humains et matériels.

2. Quelle réponse des associations et fondations pour la recherche médicale ?

Les cancers dits « triple négatifs » représentent 15% des cancers du sein. Jusqu’à présent, leur pronostic était sombre. Avec les programmes SAFIR02 et PRISM-Sein, tous deux soutenus par la Fondation ARC, de nouveaux espoirs sont permis.

« Triple négatif » ?

Cette forme de cancer doit son nom à l’absence de trois récepteurs habituellement présents à la surface des cellules cancéreuses. De ce fait, les traitements ciblés sur ces récepteurs (hormonothérapie notamment) ne peuvent être envisagés contre ce type de cancer. Ils sont pris en charge par la chirurgie, la chimiothérapie et la radiothérapie… mais présentent un risque élevé de récidive dans les 3 ans, et de métastases au niveau du foie et du poumon.
Depuis 2014, la Fondation ARC soutient le groupement UNICANCER pour développer la médecine de précision. C’est dans ce contexte qu’a pu émerger un premier programme de recherche sur le cancer du sein « triple négatif ». Un second projet a également été identifié et soutenu.

don pour la recherche médicale - fondation arc visuel chercheur

Le programme SAFIR02, une amélioration contre les cancers métastatiques

Objectif n°1 : dégager de nouvelles pistes pour les femmes atteintes d’un cancer présentant déjà des métastases, situation la plus difficile à prendre en charge. L’étude SAFIR02 Breast-Immuno, coordonnée par Gustave Roussy à Villejuif, a permis de mettre en évidence l’efficacité d’une immunothérapie (permettant de contrer l’échappement des cellules tumorales au système immunitaire des patients), prescrite après la chimiothérapie. Résultat : une amélioration de la survie globale, passant de 14 à 21 mois.

Avec PRISM-Sein, agir avant l’apparition de métastases

ur la base de ces premiers résultats a pu naître le projet PRISM-Sein, qui concerne des femmes atteintes de ce cancer « triple négatif », mais à un stade localisé au moment du diagnostic (non métastatique). Fabrice André, directeur de la recherche de Gustave Roussy et expert international en cancérologie mammaire, pose maintenant l’hypothèse que ce traitement, initié précocement, pourrait guérir une partie d’entre elles. Pour le vérifier, il lance l’étude POP-Durva. 200 malades vont recevoir le traitement par immunothérapie avant la chirurgie. L’équipe espère qu’au moins 20% de ces femmes seront guéries.

En parallèle, des échantillons biologiques seront collectés dès le diagnostic et au cours de l’essai chez les patientes y participant. Leur analyse fine par des approches technologiques innovantes visera à identifier les caractéristiques biologiques – les « marqueurs » – de la réponse à l’immunothérapie, permettant ainsi d’identifier les patientes susceptibles d’en bénéficier.

3. Quel est le rôle des dons pour la recherche médicale ?

Les financements publics ne peuvent pas seuls faire face à ces besoins. De l’hypothèse de départ jusqu’à la validation d’un nouveau médicament, le cycle de financement de la recherche repose sur un triptyque. Globalement, les fonds publics assurent les investissements de structure et le fonctionnement courant des laboratoires de recherche, la générosité privée permet de soutenir la production de connaissances et d’assurer les conditions de leur transfert sécurisé vers les malades, enfin les laboratoires pharmaceutiques financent la conception et la validation clinique de leurs propres molécules.

“Grâce à leur souplesse et leur indépendance, les organisations de lutte contre le cancer dont l’action repose sur la générosité privée, ont la possibilité de prendre des risques : elles soutiennent des concepts innovants et les accompagnent sur la durée. Avec une finalité unique : l’intérêt général.” (François Dupré, Directeur général de la Fondation ARC)

don pour la recherche médicale - générosité dans le financement de la fondation arc

4. Quelle part des dons dans la recherche médicale en cancérologie ?

Selon l’étude sur les dons pour la recherche médicale réalisée par France générosités*, l’impact de la générosité est important ! La Fondation ARC, grâce aux dons pour la recherche médicale soutient plus de 300 projets de recherches par an ! En général, la générosité privée finance 39 % de la recherche en cancérologie !

Votre générosité, vos dons pour la recherche médicale permettent aux organisations d’intérêt général d’innover et d’apporter de nouveaux traitements pour lutter contre les maladies comme les cancers.

financement de la recherche en cancerologie

5. Etude d'impact à lire en entier ici 👇

Pour lire l’étude complète sur l’impact des dons pour la recherche médicale :

*Source : 9 études de cas sur l’impact de la générosité, réalisées par France générosités avec l’appui de Koreis – Novembre 2021

📍 Les différentes études d'impacts sur le don :

Découvrez les associations et fondations qui œuvrent au quotidien grâce à vos dons et soutenez les causes qui vous tiennent à cœur.

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